Edward HOPPER – Excursion into philosophy

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Hopper dépeint des personnages anonymes et solitaires, dont le visage ne trahit aucune émotion. Il met en contraste les couleurs chaudes de sa palette avec les sentiments dégagés par ses personnages : froids, imperméables, distants. Diverses impressions ressortent de ses toiles : la tension, l’exclusion, la mélancolie… Ce traitement du silence s'explique par une volonté chez l'artiste de représenter ce qui ne peut pas être exprimé « Si vous pouviez le dire avec des mots, il n'y aurait aucune raison de le peindre ». La frontière entre espace intérieur et espace extérieur est matérialisée par une fenêtre, une porte ou un contraste de lumière, suggérant un effet d’aliénation. Cette toile met en scène une femme, nommée Shirley, accompagnée d’un homme, peut-être son mari, nous laissant imaginer ses pensées intimes. L’homme médite sur un rectangle de lumière à ses pieds. Entre lui et la femme de laquelle il s'est détourné, un livre ouvert. Il semble question des espoirs et des frustrations d’une femme quant à son couple, et de la solitude dans leur vie de tous les jours.

Hopper dépeint des personnages anonymes et solitaires, dont le visage ne trahit aucune émotion. Il met en contraste les couleurs chaudes de sa palette avec les sentiments dégagés par ses personnages : froids, imperméables, distants. Diverses impressions ressortent de ses toiles : la tension, l’exclusion, la mélancolie… Ce traitement du silence s’explique par une volonté chez l’artiste de représenter ce qui ne peut pas être exprimé « Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de le peindre ». La frontière entre espace intérieur et espace extérieur est matérialisée par une fenêtre, un contraste de lumière, suggérant l’effet d’aliénation. Cette toile met en scène une femme, nommée Shirley, accompagnée d’un homme, peut-être son mari, nous laissant imaginer ses pensées intimes. L’homme médite sur un rectangle de lumière à ses pieds. Entre lui et la femme de laquelle il s’est détourné, un livre ouvert. Il semble question des espoirs et des frustrations d’une femme quant à son couple, et de la solitude dans leur vie de tous les jours.

Roy LICHTENSTEIN – M-Maybe